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Ici, jour après jour, by Mademoiselle d'Avignon
24 avril 2016

Prise de conscience dans un placard

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Ça fait longtemps que j’essaye d’écrire ce post mais je me suis souvent avouée vaincue d’avance en me disant que mes préoccupations de ménagère de moins de 50 ans manquaient peut être un peu de fun.
Pourtant, reconnaissons le, cette quête du produit d’entretien efficace (sinon je n’en veux pas) écologique (ça devient très important dans cette maison même si on n’est pas des intégristes), et fait maison (ça c’est mon truc et je ne l’explique que par le plaisir que je prends à faire ces choses là.... et d’autres), cette quête du produit que l’on adopte comme étant LE bon produit m’a passionnée.
Ce n’était qu’un début. Enhardie par mes succès de chimiste domestique il n’a pas fallu longtemps pour que je me lance sur le marché (tout aussi domestique) du cosmétique maison. Et là, tout un univers s’est ouvert à moi. Je vous raconterai. Pour l’instant revenons à notre vaisselle.
Je ne pense pas que cela soit en rapport avec la Cop 21 mais cette année j’ai eu à faire avec une franche prise de conscience écologique. Je sais bien que ça fait bobo (comme dirait quelqu’un qui se reconnaîtra) mais allez savoir, peut être qu’un jour ce sont les bobos qui sauveront la planète .... (on se reconnaîtra à nos jolies capes Vuitton réalisées, en circuit court, à base de fibre de peaux de melons bio....)
J’ai commencé par lire les étiquettes de ce que j’accumulais comme produits d’entretien et faire de la place dans mes placards. Au bout d’une nuit entière (ou deux, ou trois) de saines lectures sur le net j’avais dresse la liste de mes besoins : du savon noir, du vinaigre blanc et du bicarbonate de soude.
J’avais surtout appris deux choses importantes :
1 on peut survivre sans eau de javel (j’avais toujours imaginé que sans cette désinfection malodorante nous finirions par succomber à l’attaque de microbes sanguinaires )
2 c’est pas parce que ça ne mousse pas que ça ne lave pas (et ça ce n’est pas le plus facile à intégrer)
Un choc culturel pour l’espagnole qui se cache (mal) dans mes gènes en fait.
Bref, si aujourd’hui encore je fais beaucoup de choses avec ces trois produits de base j’ai élargi mes besoins à un liquide vaisselle, un désinfectant, de la lessive pour le linge et du savon de Marseille.... Faits à la maison. Quand j’aurai trouvé (je m’en occupe) la bonne façon de faire des dosettes pour le lave vaisselle, Je pense que j’aurai fait le tour de la question.
Ici je vous donnerai toutes les recettes. Mais pour commencer, un premier geste : la lingette et le papier absorbant resteront désormais là où ils sont dans les rayons des magasins, même chose pour le coton à démaquiller. j’ai fabriqué il y a longtemps maintenant du lavable-réutilisable en assemblant deux morceaux d’éponge fine et franchement ce n’est que plus pratique.

 

 

 

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